Nos sources
Lorsque l’on vérifie si des documents contiennent des plagiats et des passages incorrectement cités, il est essentiel que cette comparaison inclue chacune des sources à disposition. Ce n’est qu’alors que l’on pourra se fier aux résultats présentés dans le rapport d’analyse de plagiat.
PlagScan inclut automatiquement quatre types de sources dans sa routine de détection de plagiats :
- « Internet », soit 14 milliards de contenus numériques au bout des doigts
- Des millions d’articles scientifiques et universitaires publiés dans des journaux par les éditeurs les plus prestigieux du monde
- La base de données de vos propres documents contenant des thèmes ou travaux attribués précédents (en option)
- Le fonds de prévention des plagiats et ses contenus provenant d’autres participants à ce fonds
Une fois ces sources examinées, nous en extrayons des milliers de textes présentant des similitudes sémantiques, et les scannons minutieusement pour vérifier s’il y a des concordances avec votre document.
Plus de détails sur les sources :
Internet
Nous utilisons Microsoft Bing, véritable colonne vertébrale soutenant notre référencement de contenus numériques sur le web. Ceci est la garantie de pouvoir rester constamment à jour en ce qui concerne les contenus récemment publiés sur Internet. Vous pouvez donc être rassuré, notre solution sera à même de trouver les articles les plus récents à disposition.
Des millions d’articles dans les journaux universitaires
En collaborant avec plusieurs des éditeurs scientifiques les plus réputés à travers le monde, nous vous garantissons, quel que soit le champ de recherche, un accès à tout article publié sur ce sujet, même s’il est protégé par un mur à péage. Les professeurs et les instructeurs peuvent ainsi se concentrer sur le contenu la copie effectivement mise en ligne, et gagner un temps précieux lors de la lecture et des recoupements de chacun des articles sur ce sujet spécifique.
PlagScan inclut actuellement plus de 10 800 journaux et 14 millions d’articles des éditeurs ci-après, et n’a de cesse d’en ajouter :
- BMJ
- Gale, société du groupe Cengage
- Taylor & Francis
- Wiley Blackwell
- Springer
- Pour n’en citer que quelques-uns
Aujourd’hui, plus de 2,6 millions d’articles sont publiés chaque année dans des revues à comité de lecture
Contrôle de collusion avec vos propres documents
Que votre organisation soit une université, un établissement d’enseignement supérieur ou une société, il y a forte chance que quelqu’un d’autre ait déjà rédigé un document sur le sujet attribué ou débattu. PlagScan vous offre en option la possibilité de constituer votre propre base de données, composée de travaux attribués, de thèses ou d’articles qui ont été ajoutés à vos archives. Ceci garantit l’originalité de chaque document déposé.
Documents dans le fonds de prévention des plagiats
Afin de garantir aux universités la possibilité de recouper des travaux attribués dans différentes régions et afin de s’assurer que ces derniers n’ont pas déjà été rendus à une autre université ou école, les utilisateurs de PlagScan peuvent participer au fonds global de prévention des plagiats. Ce répertoire dresse la liste de chaque document déposé, et garantit qu’honneur soit rendu à qui honneur est dû. Cliquez ici pour en lire plus sur le fonds de prévention des plagiats.
Notre algorithme
En principe, une similitude de trois mots suffit pour que notre algorithme détecte un plagiat, ceci malgré l'emploi de synonymes et l'interversion de parties de phrases.
Une fois la vérification terminée, nous filtrons par intelligence artificielle les citations directes, les concordances insignifiantes et tout contenu figurant sur liste blanche afin de vous présenter les résultats les plus complets.
Notre système d'indexation interne se fonde sur la technologie Apache Solr™.
Une technologie Made in Germany
Le siège de PlagScan est situé en Allemagne ; c'est également là que nous hébergeons nos serveurs et développons nos solutions logicielles. À ce titre, nous agissons donc en entière conformité avec la loi fédérale allemande sur la protection des données et dans l’intérêt de préserver les contenus protégés par les droits d’auteur.
Être ingénieur, qui plus est en Allemagne, nous l’avons dans le sang : nous visons toujours les standards de qualité les plus élevés possibles.